Indication importante :

En plus des FILPIC de ma fabrication, la majorité des modèles de clôtures électriques que je peux ou sais réparer ou reconstruire avec les moyens et composants dont je dispose encore sont cités et photographiés dans les exemples publiés. Il y en a environ 50 avec alimentation 230 V, 10 avec alimentation 12 V et 2 alimentés par pile. Pour presque tous les autres je ne pourrai rien faire.

Depuis 1943, Paul Pyrat puis Michel Pyrat ont voulu que toutes leurs fabrications soient réparables composant par composant.

Jusqu’à l’an 2000 la plupart des autres marques ont proposé des réparations par module entier (Plaquette électronique ou transformateur ou condensateurs) ; la remise en état était facile mais coûtait environ la moitié de la valeur de la clôture.

Malgré tout, si les composants n’étaient pas enrobés de résine époxy, la remise en état composant par composant restait possible par un réparateur expérimenté.

Depuis l’an 2000 la presque totalité des plaquettes est jetable à la première panne.

Avec les appareils branchés sur le secteur 230 Volts et utilisés en zone rurale où les orages sont plus destructeurs qu’en zone urbaine, environ 90 % des pannes sont provoquées par surtensions ou coups de foudre.

Quand un constructeur augmente beaucoup le nombre de composants d’une plaquette électronique, les petites améliorations produites sont coûteuses et elle devient plus fragile aux surtensions.